Comme chien et chat

Comme chien et chat est un film que j' ai particulièrement aimé, car il représente a la fois deux de mes passions, le chats, et la tecknologie.

Un mauvais point que j' attriburait a ce film est qu' il considère les chats comme des "être maléfique".

Dans le premier film, un persan blanc, a la tête d' une armée de chat diabolique, veut volé a un scientifique une potion permettant aux humain de ne plus être alergique aux chien, afin d' inversé les effets, et de rendre la population alergique aux chien, afin que les chats domine le monde.
Un petit chien nommé Lou va alors être formé pour lutter contre la "menace féline"

Ce film est comique, mais certain moment sont triste, la fin, particulièrement.

Le film se finit alors que le félin diabolique est emmené dans une maison remplis de femme menage qui le "bichone", en l' habillant de toute sorte.



Le deuxième film, nommé la revanche de Kitty Gallore, parle d' un chien policier, qui, refusant d' obéir aux ordres, est mené au chenil, contre le gré de son maitre.

L' organisation de chien eyent lutté contre le persan, recrute ce dernier, et lui montre une vidéo, ou une chatte, du nom de Kitty Gallore, veut se servir d' un ultrason nommé "le cri de la bète" pour se vanger des chien et des humain.

A un moment, une chatte parlera de Kitty Gallore, et racontera la façon dont elle a était trahis par ces maitres, a la suite d' un accident qui l' a défiguré !
Elle a aussi un petite souris, que, apparement, elle aime, mais, qu' elle maltraite !

Son assistant, se nomme Patte, mais on découvre ensuite que ce n' est qu' un énorme robot, recouvert de fourure pour ressembler a un chat.

Pour finir, alors qu' elle a perdu, un moment que je trouve assez méchant, Kitty approche sa souris pour lui faire un calin et lui dire adieux, et cette dernière l' envoi balader dans les airs avec sa propre machine.

Le film se termine alors que, le persan du premier film, enverra une vidéo, disant qu' il est de retours, et nos amis, s' en vont l' arrêter.

A suivre...

je croyiez qu'il y avait le film